Vienne 1900 - quel bonheur !
20h55, incroyable, il n'y a personne devant l'entrée du Grand Palais. Nous allons enfin pouvoir parcourir l'exposition Vienne 1900 qui attire tant de monde.
Il n'est pas besoin d'aller bien loin pour comprendre, dès l'entrée il se passe quelque chose quand je me retrouve face aux trois tableaux de Klimt qui ouvrent l'expo, je me sens comme emportée, ravie, fascinée. Ces tableaux, je les ai déjà vus, sur du papier, sur des écrans, mais là... c'est impressionnant. "Les voir en vrai", expression qui prend toute sa signification, car ces tableaux dégagent une présence peu commune. Et les gens ne s'y trompent pas, ils sont très attentifs, admiratifs. J'admire, je m'émerveille. Je goûte, je dévore ce qu'on me donne à voir. C'est physique, je me régale. Du bonheur !
Ils sont donc quatre peintres : Klimt, Schiele, Moser, Kokoschka. Klimt et Schiele sont ceux pour lesquels j'ai le plus d'attirance. Belle lumière chez Moser.
Mes préférences vont peut-être à leurs paysages. A l'atmosphère de Quatre arbres, de Schiele, que j'aimerais ne plus quitter des yeux, quelle vie palpite là-dedans ! Tout aussi charnel que ses portraits. Et ses paysages urbains dans lesquels je pourrais passer des heures à voyager.
Sur un mur, en quelques dates, les quatre biographies. Schiele, Klimt et Moser mourront en 1918, Schiele n'avait que 28 ans. Je reste songeuse en pensant à l'oeuvre qu'il aurait réalisée si la grippe espagnole ne l'avait pas emporté.
Hélas, à peine une heure pour visiter une telle exposition, c'est peu, on voudrait revenir sur ses pas, rester plus longtemps devant certains tableaux. C'est sans doute une des plus belles expo que j'ai pu voir. Je feuillette un peu le catalogue, mais les reproductions ne soutiennent pas la comparaison avec les oeuvres accrochées aux murs.
Un petit parcours de l'exposition Vienne 1900
Il n'est pas besoin d'aller bien loin pour comprendre, dès l'entrée il se passe quelque chose quand je me retrouve face aux trois tableaux de Klimt qui ouvrent l'expo, je me sens comme emportée, ravie, fascinée. Ces tableaux, je les ai déjà vus, sur du papier, sur des écrans, mais là... c'est impressionnant. "Les voir en vrai", expression qui prend toute sa signification, car ces tableaux dégagent une présence peu commune. Et les gens ne s'y trompent pas, ils sont très attentifs, admiratifs. J'admire, je m'émerveille. Je goûte, je dévore ce qu'on me donne à voir. C'est physique, je me régale. Du bonheur !
Ils sont donc quatre peintres : Klimt, Schiele, Moser, Kokoschka. Klimt et Schiele sont ceux pour lesquels j'ai le plus d'attirance. Belle lumière chez Moser.
Mes préférences vont peut-être à leurs paysages. A l'atmosphère de Quatre arbres, de Schiele, que j'aimerais ne plus quitter des yeux, quelle vie palpite là-dedans ! Tout aussi charnel que ses portraits. Et ses paysages urbains dans lesquels je pourrais passer des heures à voyager.
Sur un mur, en quelques dates, les quatre biographies. Schiele, Klimt et Moser mourront en 1918, Schiele n'avait que 28 ans. Je reste songeuse en pensant à l'oeuvre qu'il aurait réalisée si la grippe espagnole ne l'avait pas emporté.
Hélas, à peine une heure pour visiter une telle exposition, c'est peu, on voudrait revenir sur ses pas, rester plus longtemps devant certains tableaux. C'est sans doute une des plus belles expo que j'ai pu voir. Je feuillette un peu le catalogue, mais les reproductions ne soutiennent pas la comparaison avec les oeuvres accrochées aux murs.
Un petit parcours de l'exposition Vienne 1900
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
M